MAURITANIE : Evaluation du nouveau programme de nutrition scolaire
Nouakchott

Un atelier s’est ouvert mardi à Nouakchott Ouest pour présenter le nouveau programme d’alimentation scolaire, financé par le ministère américain de l’Agriculture.

Cet atelier, organisé par le ministère de l’Education nationale et de la Réforme du Système éducatif en collaboration avec l’organisation américaine «Counterpart International », vise à définir les critères de sélection des écoles bénéficiaires du programme.

Supervisant l’évènement, le Secrétaire général du ministère de l’Education nationale et de la Réforme du Système éducatif, M. Ahmedou Ould Khteyra, a affirmé que le secteur de l’éducation a fait l’objet d’une attention particulière dans le programme de Son Excellence le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh Ghazouani. « Cette attention est illustrée par la réforme globale du système éducatif actuellement poursuivie par l’État à différents niveaux, ajoutant que l’idée de l’école républicaine est restée absente au cours des époques passées en raison des déséquilibres observés par l’éducation au cours des dernières décennies »

Il a ajouté que le Président de la République place l’école Républicaine au premier rang de ses priorités et offre les moyens de sa mise en œuvre sur le terrain.

M. Khtayra a indiqué que l’organisation de cet atelier intervient à un moment où la mise en œuvre de la politique générale du gouvernement connaît des progrès remarquables à plus d’un niveau dans la mise en œuvre du programme de Son Excellence le Président de la République (Taahouaty), dans lequel le secteur éducatif occupe le devant de la scène, notamment dans le domaine des infrastructures et de l’alimentation scolaire.

Il a noté que le lancement effectif de la composante du Programme national d’alimentation scolaire financé par les États-Unis d’Amérique a eu lieu en 2020 et a profité à ce jour à environ 69 840 élèves dans 209 écoles des wilayas du Gorgol et du Brakna. « Il sera élargi à la wilaya du Tagant cette année 2023 avec un financement de 28,5 millions de dollars pour 5 ans ».

Le Secrétaire général a attiré l’attention sur le fait que le processus d’alimentation scolaire exige une coopération fructueuse et un partenariat efficace, saluant à cet égard les efforts des partenaires dans ce domaine, en particulier le ministère de l’agriculture des États-Unis et l’Organisation internationale de contrepartie, pour l’appui qu’ils ont apporté au secteur en matière d’alimentation scolaire……….la suite sur ami.mr


BOTSWANA : Viva local organic fertilizer

A duo of young Batswana professionals has teamed up to manufacture organic fertilisers that are suited to local environment while promoting the country’s food production.

The pair, biologist Mmakwena Moesi and software engineer, Amogelang Masi decided to come up with organic bio-fertilisers that would assist local farmers to get produce that is appealing to consumers. The two business partners through their company, Viva Organica, manufacture fertilisers using organic waste to support the resilience of farming communities in growing organic and nutrient dense crops to withstand recurring drought seasons, heat waves and erratic rainfall in Botswana. They currently have products in the market like Vermogrow and Bio Brew, a granular and liquid organic fertiliser…………..For the rest, visit the site : mmegi.bw


Départ de l’armée française du Burkina : Les précisions du gouvernement

Le ministre porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo, a donné des précisions ce 23 janvier 2023 sur le départ de l’armée française du territoire burkinabè et sur les relations entre le Burkina Faso et la France. « Nous avons foi que l’engagement des Burkinabè va être décisif », a déclaré le ministre, ajoutant que c’est avec le soutien aussi des forces amies notamment en moyens matériels.

Concernant le départ de l’armée française du territoire burkinabè, « ce n’est pas lié à un événement particulier, c’est surtout lié à une vision », a indiqué Jean Emmanuel Ouédraogo.

Le président français Emmanuel Macron a demandé des clarifications sur le départ de la force française du Burkina Faso. « La vision de la transition c’est que ce sont les Burkinabè eux-mêmes qui doivent consentir le sacrifice pour la libération du territoire », a fait comprendre le ministre porte-parole du gouvernement.

Il a également ajouté « qu’aujourd’hui ce que nous attendons le plus de nos amis c’est le soutien matériel ». Suivre la réaction du ministre ici ⤵
Sur Burkina 24.com.


Le Mali reçoit de nouveaux appareils de guerre de la Russie. Des livraisons semblables avaient eu lieu en mars et août 2022.

**La junte malienne a réceptionné jeudi une nouvelle livraison de plusieurs avions et hélicoptères de guerre livrés par la Russie, son nouveau grand allié militaire et politique, a constaté un correspondant de l’AFP.Le correspondant de l’AFP a dénombré au sol et dans les airs dix appareils, huit avions et deux hélicopères, lors de cette cérémonie à laquelle ont pris part l’ambassadeur russe Igor Gromyko et le chef de la junte malienne, le colonel Assimi Goïta.

La livraison se composait de Soukhoï Su-25, avion d’attaque au sol et de soutien rapproché de conception soviétique, et d’Albatros L-39, appareil de conception tchèque initialement destiné à l’entraînement mais souvent employé comme avion d’attaque, a indiqué l’armée malienneIl y avait aussi des Mi-8, hélicoptère polyvalent également de conception soviétique servant au transport de troupes et de matériel et pouvant être armé pour appuyer les soldats au sol.

Les officiels maliens n’ont pas précisé eux-mêmes combien d’appareils étaient réceptionnés..C’est la dernière livraison du genre rendue publique par les autorités. De semblables avaient eu lieu en mars et août 2022. Les autorités disent acheter les appareils, mais n’ont jamais fourni plus de précisions, sur les montants par exemple.

Le Mali est en proie depuis 2012 à la propagation jihadiste et à une grave crise non seulement sécuritaire, mais aussi politique et humanitaire. Les colonels qui ont pris le pouvoir par la force en 2020 ont poussé à la rupture de l’alliance militaire avec la France et ses partenaires en 2022, et se sont tournés vers la Russie.

De multiples sources rapportent que la junte a commencé à faire venir dès fin 2021 le groupe paramilitaire russe Wagner, aux agissements décriés dans différents pays. La junte dément et invoque un partenariat de longue date ravivé avec la Russie et son armée.La junte revendique d’avoir repris l’initiative contre les jihadistes. Des experts contestent ses proclamations militaires.

Le chef d’état-major de l’armée de l’air, le général de division Alou Boi Diarra, a parlé de “montée en puissance” au cours de cette cérémonie de livraison de matériel russe qui est “presque devenue une routine”.

Les forces maliennes “ont connu, lors des deux dernières années, une dynamique de renforcement, de modernisation et d’équipement sans précédent”,…………….Pour la suite, parcourez le lien : https://fr.euronews.com/2023/01/20/le-mali-recoit-de-nouveaux-appareils-de-guerre-de-la-russie-euronewsfr


Guinée: Fin du Symposium Mines

Le DG de la SAG explique au public « la licence sociale pour un développement minier durable » 

Lancé sous la présidence du Chef de l’Etat, le Colonel Mamadi Doumbouya, en compagnie de son Premier ministre Bernard Goumou au palais du peuple de Conakry, le 15 novembre, le Symposium Mines Guinée (SMG) a pris fin ce jeudi 17 novembre. Ce plus grand événement ouest-africain dans l´industrie minière avait pour thème : «Optimiser l’industrie minière pour catalyser le développement socio-économique de la Guinée».
Il a mobilisé plus de 900 participants nationaux et internationaux, une centaine de stands d’exposition de nos sociétés minières, organismes d’Etat et d’autres fournisseurs.
A cette occasion, le Directeur Général de la Société Anglo Gold Ashanti de Guinée (SAG), Mamady Kouyaté, était parmi les panelistes dont le sujet a retenu l’attention du public.
Il s’agissait de « la licence sociale pour un développement minier durable » qui s’articule principalement, selon le DG de la SAG Mamady Kouyaté sur trois aspects. A savoir entre autres, l’éducation, les infrastructures et la création d’activités génératrices de revenus.
En ce qui concerne l’éducation, le paneliste Mamady Kouyaté a rappelé que la SAG a construit beaucoup d’écoles presque dans tous les villages qui se situent dans son domaine d’intervention et même au-delà.
« Nous savons que pour rendre l’activité minière durable, il faut créer de la compétence. Dans ce cadre, la SAG sur  fonds propre a construit une école professionnelle pour laquelle elle a acheté des équipements et elle est présentement en discussion avec le ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle pour que cette école commence à fonctionner. Nous pensons que cela va certainement amener la création d’emplois, la création de plus d’entreprises locales et il va permettre également de garder beaucoup plus de devises étrangères dans notre pays« .
S’exprimant sur le domaine des infrastructures, Mamady Kouyaté a affirmé qu’ils sont en train de travailler dans les villages  éloignés du centre-ville pour les doter de centres de santé « des centres d’autonomisation des femmes où les femmes peuvent apprendre des métiers comme la teinture, la saponification (…). Nous réalisons des ponts, les routes pour les communautés environnantes afin de faciliter l’écoulement des marchandises et le déplacement des personnes ».
Sur le troisième sujet relatif à la création d’activités génératrices de revenus, le DG de la SAG, Mamady Kouyaté a indiqué qu’ils accompagnent non seulement les femmes dans les cultures maraîchères, mais aussi qu’ils ont des projets agricoles (…). « Nous avons aussi le volet fourniture de biens et de services. Car, l’industrie minière est l’un des secteurs qui fait plus de dépenses dans le pays. Nous pensons que si ces dépenses sont bien orientées, elles vont permettre au gouvernement de réaliser son aspiration en mettant un accent particulier sur l’industrialisation locale« ,a-t-il expliqué.
Avant de dire que : « depuis les 7 ans, nous avons augmenté nos dépenses locales de 110 millions à plus 140 millions de dollars par an que nous dépensons totalement dans les entreprises locales ».
Pour plus de transparence… la suite sur guineenews

NIGER: Opérations bancaires

 Dépôt espèces au GAB, la solution innovante de Coris Bank International Niger

GAB Coris Bank

Présente au Niger depuis trois (3) ans, Coris Bank International ne finit pas de surprendre surtout lorsqu’il s’agit de faciliter les opérations à sa clientèle. En plus du renforcement de son offre de proximité, c’est désormais une nouvelle solution qu’elle met à la disposition de la clientèle.  Cette dernière trouvaille n’est rien d’autre que la possibilité qu’offre cette banque dans le cadre de la digitalisation de ses services, d’effectuer des dépôts d’espèces directement au Guichet Automatique de Banque (GAB) au niveau de son agence du Siège, avec un déploiement progressif prévu sur l’ensemble du réseau d’agences.

 

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Jusqu’à présent au Niger, le Guichet Automatique de Banque (GAB) était connu pour le retrait d’argent. Désormais avec cette innovation de Coris Bank International, ce guichet offre également la possibilité d’effectuer des versements en toute autonomie 24H/24 et 7J/7.

En plus de la rapidité, les opérations sont sécurisées, le système est très pratique et fiable et la procédure est toute simple en seulement neuf (9) étapes :

procedure depot Coris Bank

Lancée en décembre 2019 au Niger, la succursale de Coris Bank International SA fait partie du Groupe Coris dont le siège de la Holding se trouve à Ouagadougou au Burkina Faso où la banque est leader sur le marché. Elle est présente au Niger à travers un réseau de 4 agences dont l’agence principale (siège), l’agence Plateau, l’agence BARAKA dédiée à la finance islamique à Niamey et l’agence de Maradi. La banque poursuivra son rapprochement avec la clientèle dans le cadre de sa politique d’expansion avec l’ouverture prochaine de plusieurs agences.

A propos de Coris Bank International

Coris Bank International est classé 3ème Groupe Bancaire de l’UEMOA en 2021 avec 8,6 % de parts de marché selon le rapport de la banque centrale. Le Groupe est présent sur le marché bancaire avec la vision forte de participer activement au développement socio-économique des pays africains. Ainsi, Coris Bank International (CBI) s’investit pour le développement et l’épanouissement des populations des pays dans lesquels elle exerce ses activités, à travers l’accompagnement de différents projets. La suite sur


Renforcement de l’employabilité des jeunes ruraux à Kita et Yanfolila : le projet « Soutien à l’auto-emploi de la jeunesse rurale, vecteur de paix et de cohésion sociale au Mali » lancé

Le Gouvernement du Mali à travers le Ministère de l’Entreprenariat National, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science Et la Culture (UNESCO) et le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la Paix ont lancé ce jeudi 17 Mars 2022 au CICB le projet « Soutien à l’auto-emploi de la jeunesse rurale, vecteur de paix et de cohésion sociale au Mali » à Kita et Yanfolila.

 

 

Présidée par le Ministre de l’Entreprenariat National, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, M. Bakary DOUMBIA avec à ses côtés le Représentant de la FAO au Mali, et du Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies au Mali, M. Mansour NDIAYE, la cérémonie de lancement a regroupé les parties prenantes du projet notamment les Représentants des Agences, Fonds et Programmes du Système des Nations Unies au Mali, les Directeurs des services techniques nationaux, les représentants de la Société Civile et des Organisations de la Profession Agricole, les membres des Organisations faitières des Femmes et des Jeunes Ruraux ainsi que les représentants du secteur Privé.

En effet le projet « Soutien à l’auto-emploi de la jeunesse rurale, vecteur de paix et de cohésion sociale au Mali » à Kita et Yanfolila vise à contribuer au renforcement des capacités des jeunes adultes (filles et garçons), des femmes ainsi que des migrants de retour au Mali dans la prévention et la gestion des conflits et leurs participations actives au développement socio-économique de leurs communautés via des emplois durables.

C’est pourquoi dans son allocution prononcée au nom du Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies au Mali, M. Mansour NDIAYE, Représentant de la FAO au Mali, avait affirmé que « Les Nations Unies supportent les efforts du Gouvernement pour rétablir la sécurité sur tout le territoire national. Les résultats de cette initiative revêtent pour les Nations Unies, une importance particulière car ils permettront de montrer à d’autres partenaires techniques et financiers contributeurs que des changements positifs sont possibles malgré la situation d’insécurité et qu’il y a un besoin réel de passer à l’échelle les interventions pour un impact plus grand ».

Quant au Ministre de l’Entreprenariat National, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, M. Bakary DOUMBIA, il a tout d’abord rappelé que ladite cérémonie « est le couronnement d’intenses activités de démarches, de négociation, d’identification et d’orientation menées entre les agences du Système des Nations Unies au Mali à savoir la FAO, l’UNESCO, l’OIM et le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la Paix, le tout sous la caution du Gouvernement malien » avant d’appuyer les propos de son prédécesseur. « Tout comme le système des Nations Unies, le Mali est convaincu qu’il faille impliquer la jeunesse, cette couche importante dans toutes les actions de stabilisation et de développement pour une paix et un développement durable » dixit-il.

Ainsi, ce projet contribuera de manière significative à la consolidation des efforts de paix au Mali en améliorant les perspectives des jeunes par rapport à leur avenir et leur rôle dans les dynamiques de paix, tout en intégrant les aspects… Pour lire le reste connectez vous sur https://malijet.com/actualite-politique-au-mali/flash-info/267918-renforcement-de-l%E2%80%99employabilit%C3%A9-des-jeunes-ruraux-%C3%A0-kita-et-yanf.html


La revue du RAS n°2

REVUE R.A.S. N°2 AUTOMNE 2020

Le 21ème siècle, ère du numérique, de l’innovation, des modèles alternatifs mais aussi des grands défis, nous offre la possibilité de combattre les inégalités et d’amorcer un développement durable pour notre continent.
C’est fort de cette conviction que le Réseau Afrique Stratégies est né.

Depuis son lancement, à Sciences Po-Paris, en janvier 2017, le Réseau a déjà évolué, mais garde sa vocation, qui est d’être un laboratoire d’idées pour penser une Afrique qui bouge.

Parmi nos tribunes, nous comptons la REVUE AFRIQUE STRATÉGIES, comme moyen de diffuser une vision pour l’Afrique : une Afrique créatrice, productrice, innovante et gouvernante.

Ce second numéro de la revue Afrique Stratégies, est un moment opportun de s’interroger sur l’avenir des relations entre l’Afrique et le reste du monde en général, la relation Chino-Africaine en particulier.
Il est aussi question de se saisir de cette opportunité pour aborder, dans un contexte de transition mondiale, les enjeux de la transformation de l’Etat et des politiques publiques en Afrique.